Imagine… un vendredi, fin de matinée… la semaine a été longue, les call s’enchaînent, encore un dernier dossier à boucler. Et ce mail auquel tu n’as pas répondu, déjà deux jours que le n+1 attend le document avec ta signature.
Je reviens de mon footing dans la neige, tu m’as entendue fermer la porte délicatement, me déshabiller, couche après couche, laisser glisser les vêtements au parquet qui craque sous mes pieds nus, soupirer de plaisir quand mes extrémités fraîches ont enfin retrouvé un peu de chaleur.
La douche.
Puis plus rien.
Un léger courant d’air caresse ta nuque quand je pousse la porte de ta pièce…
Il y a ce moment où il me dit « attend bouge pas, j’aime trop ce que je vois ». Je le sens se pencher, retenir son souffle, le petit « poc » de l’appareil qui vole dans les draps et puis il reprend son mouvement, m’encourage à y aller plus intensément. C’est un instant suspendu. Une image qui reste. Un souvenir réactivé à chaque scroll de ma pellicule. Un ébat avec suite… 📹 DM
Un petit tour de mes escapades de Juillet… Mes fesses se sont bien baladées. Au sommet des plus belles montagnes, au creux des plus belles vallées… l’avantage d’avoir des amis bien placés. 1 : festival Solidays 🌈 2 : arrivée en Suisse, débrayage 🐮 3 : jour de vote ✊ 4 : on atteint des sommets 🍑 5 : Aman’incognito rando 🥾 6 : mon petit cul bleu.. tu as vu la vidéo du post d’après ? 🦋 7 : réveil dans la canicule 🌞 8 : un shoot qui vaut le détour 🏔️ 9 : après une sortie terreuse 🚿 (la suite en mp)
Nap Time avec ma douce… Les chaudes journées sont là. On se lève tôt pour profiter de la fraîcheur et des siestes moites. J’ai adoré mon réveil du bout de ses doigts.. et elle a eu la bonne idée de filmer ça 🫣🍄
Session masquée par les cordes. Dans le silence. L'esprit s'étend dans chaque recoin du corps, n'a aucun détournement extérieur auquel se rattacher. Pleinement, il contemple la douleur de l'intérieur, l'adrénaline de l'inconnu à venir, les endorphines à chaque nouveau noeud qui se serre, le relâchement, avec le pied qui touche le sol, le sang qui revient, la corde qui se détend...
Retrouvailles. Les cordes créent un lien unique en son genre; tissé de confiance, de lâcher-prise, de kink, de plaisir... il s'étoffe au fil des sessions partagées, chacun grandit dans sa pratique et y apporte son cheminement individuel. Stoppés à l'époque par les confinements, nous renouons, enfin... avec une toute nouvelle intensité.
Facts of Life. Pendant que vous profitez de ce jour férié, mon week-end est déjà terminé. Il était doux, ensoleillé, animé, convivial. Tirée du lit assez tôt j’ai flâné dans ma cuisine, le temps de nourrir mes animaux, ranger un peu, faire quelques pas dans le jardin… puis j’ai regagné mon lit pour un peu de lecture. Une jolie romance qui parle d’un amour impossible en Irlande où il fait toujours gris et orageux. La mer se déchaînait dans mes pages, les amants se rencontraient sur la plage, ma main se baladait sur mon corps… un doux matin vous dis-je. Une fois plus éveillée je suis allée courir en forêt sous la canopée des châtaigniers, puis un peu de musculation pour garder un ventre dessiné. Mes après-midi se sont passés à Paris dans le tumulte d’un événement Queer, avec une bande de copains. Des discussions fortes et militantes, quelques verres en solarium, de la musique… j’ai pu profiter d’un appartement parisien pour la nuit, et d’un t shirt de sport le dimanche matin car j’avais oublié le mien -déso pas déso j’aime trop porter des fringues de mec, my bad-. Nouvel outfit pour l’aprem’ je me risque à porter un peu de couleur, 2024 me loin du noir ! Un retour tranquille à la maison avec l’arc en ciel dans les yeux, petit plat de pâtes du dimanche soir un bon repos… avant de repartir au boulot lundi.
Un clair obscur subtilement joué, pour plonger délicatement dans l'intimité... Retour sur une session de nu, après midi de mai brumeux, douceur du vent de printemps... avec Art Of Nudes.
C’était un week-end avec moi-même, au début du printemps… Seule dans un appartement, j’ai pris soin de mon corps et de mon esprit. La journée commence par un doux réveil au tumulte de la ville, le soleil vient me caresser la joue, je me prélasse… et profite encore du confort du lit en me servant un bol de céréales. Seule dans un appartement, j’étais libre de me déshabiller en laissant choir mes vêtements. Sur le carrelage frais, mes pieds nus, le long de mon ventre, la brise chaude de la rue. Seule dans un appartement, j’avais besoin d’une parenthèse, de partir loin des gens. Me retrouver face à ma face, prendre un bain, courir, faire des photos de mon corps, jouer avec les mots sur l’ordinateur, lire à la bougie, m’apaiser avec une musique électronique…
Après quelques kilomètres en montagne, se déshabiller au soleil, marcher nue jusqu’à l’eau chaude… Oublier tout le reste, et même ce petit détail audacieux 🙈😇